L'ESPACE BRASSENS Chaque jour, un clin d'œil à l'ami Georges, né voici 90 ans, mort il y a 30 ans
Chaque jour, un clin d'œil à l'ami Georges, né voici 90 ans, mort il y a 30 ans.
Édition du lundi 11 avril 2011
Il n'était pas ce qu'il paraissait être. Malgré son côté anar et son air de gros ours, il n'était que gentillesse et générosité. Un homme que l'on ne pouvait qu'aimer. Il était drôle et savait amuser la galerie. »
Josée Stroobants, sa photographeÉdition du lundi 14 mars 2011
La première fois que j'ai rencontré Georges, je passais devant le métro Plaisance, et, tout à coup, j'ai remarqué un jeune homme qui me regardait et qui, au fur et à mesure qu'il descendait l'escalier me regardait toujours... »
Entretien avec Joha Heïman dite Püppchen, sa compagne, le 21/11/1993.Édition du mardi 29 mars 2011
De décembre 1956 à mars 1957, Georges Brassens tourne 'Porte des Lilas', de René Clair, inspiré par le roman de René Fallet 'La Grande Ceinture'.
Il y joue le rôle de l'artiste. Il ne recommencera jamais l'expérience.
Édition du mercredi 23 mars 2011Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur !
D'avoir un mari qui bricole !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari bricoleur !
'Boîte à outils', chanson de Georges Brassens enregistrée par Patachou. Autres citations :
Car c'est à Sète que je suis né. On m'a naturalisé suisse, belge, que sais-je ? C'est ça la gloire. » ( Paris Match n° 755 du 28 sept 1963).
Brassens : étymologiquement, je crois que ça vient de bras. Mais tu sais, moi les racines, je m'en fous : je ne suis pas une plante ! »
(Dans 'Georges Brassens, vedette à la une' par Philippe Chatel).
Dire de l'auteur du 'Parapluie', de 'La chasse aux papillons', de 'Saturne', de 'La non-demande en mariage' et de tant d'autres chansons qu'il est misogyne, cela me paraît relever du paradoxe. » ('France Soir', 11/04/1979 )
La première fois que j'ai rencontré Georges, je passais devant le métro Plaisance, et, tout à coup, j'ai remarqué un jeune homme qui me regardait et qui, au fur et à mesure qu'il descendait l'escalier me regardait toujours... » (Entretien avec Joha Heïman dite Püppchen, sa compagne, le 21/11/1993)
C'est en qualité de méridional que je dis 'putain', parce que dans le Midi, on dit 'mon putain de père', 'mon putain de frère'. C'est un terme d'amitié. » (‘'Brassens par Brassens', de Loïc Rochard)
Édition du mardi 29 mars 2011
De décembre 1956 à mars 1957, Georges Brassens tourne 'Porte des Lilas', de René Clair, inspiré par le roman de René Fallet 'La Grande Ceinture'.
Il y joue le rôle de l'artiste. Il ne recommencera jamais l'expérience.
Écrit par MGB Lien permanent