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01/11/2011

Comment débattre des nouvelles technologies ?

Surement pas de la façon dont on nous a toujours parlé du Nucléaire.
Surement pas au mépris de la Nature et de ce qui ne se marchande pas !

Quant aux principes, il n’y en a qu’un qui prime “le principe de viabilité”
que je résumerai en ceci :

“Dans quelles limites précises ce que nous décidons est viable, pour nous et nos écosystèmes, jusqu’à quel horizon, quel est le prix à payer, par qui, et pour quoi ? - Comment donc privilégier le développement de nos connaissances jusqu’à des niveaux suffisamment fins, et ne pas continuer comme aujourd’hui, à appliquer des connaissances sommaires et mal dégrossies, ou à fabriquer dans nos écoles, nos universités, et nos entreprises des apprentis sorciers dépourvus de tout humanisme voire même humanité comme les barbares qui ont servi le NAZISME. Et donc aussi, comment remettre au service de l’homme, les méthodes qualités qui sont devenus une tarte à la crème qu’on vous jette à la figure pour éviter de parler des contingences réelles ? Regardons le maître  incontesté des méthodes “Qualité” copiées par tout le monde occidental, Le JAPON, et son FUKUSHIMA !”.

Le pari est pris que ce Colloque n’ira guère au delà d’une bonne publicité pour Pierre Rosanvallon.

Colloque organisé sur cette question par le Premier Ministre et le Centre d’Analyse stratégique.

Depuis la Révolution française, notre société est confrontée à la perpétuelle redéfinition des relations entre la souveraineté du peuple et le pouvoir du gouvernement représentatif.

Certes, l’essence même de notre démocratie réside dans le vote électoral : il n’en reste pas moins vrai que, comme le montre Pierre Rosanvallon, « une "souveraineté plus active et plus complexe" peut conduire à un gouvernement plus fidèle et plus attentif à la volonté générale, sans nier pour autant la formidable ambigüité qui s’attache à ce dernier terme ».

Dans une société que certains disent de plus en plus désenchantée par le politique, mais qui sait se mobiliser lorsqu’elle trouve de l’intérêt aux enjeux qui lui sont soumis, comment notre société peut-elle débattre du développement des technologies et des innovations émergentes, afin d’aboutir à leur développement responsable ? Quels principes doivent nous guider dans l’organisation des concertations correspondantes ?

Quelques références sur le concept de Viabilité en sciences et son étendue :

Jean-Pierre Aubin 1991. Viability Theory
La viabilité
Population Viability Analysis
Evolution of Coalition Structures under Uncertainty

14:58 Publié dans Conférence, Technologies | Lien permanent | | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer | |