25/05/2012
Don't kiss me goodbye
if you close the door, just turn out the lights now
the world looks better into the dark
between the curtains, somebody's watching
oh, send me to the moon before it's too late
don't kiss me goodbye, baby
don't kiss me goodbye, baby, baby, baby
i turn around since in too much time
those railroad tracks will swallow my mind
i try so hard to stop wasting my life
if only i could just make you mine
don't kiss me goodbye, baby
don't kiss me goodbye, baby, baby, baby
don't kiss me goodbye, baby
don't kiss me goodbye, baby.
Travis Bryant
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21/05/2012
La plage de la Corniche et le Lazaret à Sète, sous un temps gris, avec Brassens et ses fidèles
17:11 Publié dans Brassens 30 ans déjà !, Chanson, Danse, Musique, Vidéo | Lien permanent |
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19/05/2012
L'auto est un levier qui grandit tous nos vices et n'exalte pas nos vertus
Télérama : Les clés de la bagnole
CULTURE DU QUOTIDIEN | Elle pue, elle coûte cher, mais… fait encore rêver. Pourquoi l’humanité ne parvient-elle pas à se ranger des voitures ? Un petit parfum de liberté (et même de subversion) ne serait pas étranger à cet étrange phénomène.
http://www.telerama.fr/culture/les-cles-de-la-bagnole,342...
4 avis
Le 04/10/2008 à 00h00 - Nicolas Delesalle - Télérama n° 3064
La voiture pue. Elle nous pourrit la vie, gâche la nature, sature notre atmosphère, coupe en deux les villages, réchauffe notre climat, encrasse nos monuments, nous transforme en chenilles processionnaires les jours de bouchon, grève nos budgets, nous aliène et fracasse chaque année dans ses tôles pliées des milliers d'existences. Une plaie qui suinte depuis plus d'un siècle (on fête le centenaire de la Ford T ce mois-ci). Exclue des centres-villes de Londres et de Milan, sauf acquittement d'une dîme mal vue à Paris, où 50 % des foyers n'en possèdent pas, la tire fait profil bas. Avec la hausse du prix des matières premières, les ventes baissent en Europe et aux Etats-Unis (- 4 % en 2008) et, fait nouveau, on l'utilise moins (chute record de la consommation de carburant de 12,3 % en août en France). Va-t-elle finir par crever comme un vieux percheron réformé ? Rien n'est moins sûr. Cabossé, le rêve automobile perdure : un million de visiteurs sont attendus au Mondial de l'auto, du 4 au 19 octobre prochain. En banlieue ou dans les zones rurales, le débat sur un monde sans voiture paraît loufoque. Dans les pays émergents, la voiture est toujours vécue comme un rêve, de plus en plus accessible avec l'arrivée des low cost (la Logan de Dacia cartonne en Europe de l'Est), voire super low cost (la Nano du groupe indien Tata, 1 700 €). Il faut croire que l'homme a encore la bagnole dans la peau. Que celui qui n'a jamais surnommé sa voiture Titine jette le premier cric. Que celui qui n'a jamais eu le coeur serré en vendant sa vieille guimbarde coule la première bielle. Que celui qui n'éprouve aucune nostalgie en repensant aux départs en vacances de son enfance, au charme de la nationale 7, de l'autoroute du Soleil, de la route 66, coupe le premier arbre à cames. Mais d'où vient cet attachement viscéral ? Pourquoi l'humanité ne parvient-elle pas à se ranger des voitures ?
“L'auto est un levier qui grandit tous nos vices
et n'exalte pas nos vertus.” Georges Duhamel, Scènes de la vie future (1930)
L'historien Mathieu Flonneau (1) s'est plongé dans la genèse du fantasme automobile. Une enquête passionnante et originale parce qu'elle ne s'intéresse pas aux marques et aux modèles mais plutôt aux liens que l'homme a tissés avec son destrier mécanique. Ce que l'historien nomme l'« automobilisme » : « Dans le champ de représentation dominant, l'automobile est critiquée, surtout en France, où l'on en a une vision souvent strictement utilitaire. Mais le désir d'automobile l'emporte toujours. Je ne crois pas que l'on puisse tirer un trait sur ce qu'elle représente. Il y a beaucoup de caricatures qui obstruent son image, mais il ne faut pas la réduire à la propriété individuelle d'un bien. La question du désir de voiture a une réelle épaisseur historique. »
Mathieu Flonneau raconte les débuts pétaradants de l'automobile, quand le pilote était un aventurier fortuné qui filait cheveux au vent sur les chemins, libre d'évoluer dans un monde soudain moins figé. Les premières autos représentent un choc monumental, une liberté inouïe : « Tout ce que les professeurs ont enseigné depuis deux siècles sur les merveilles de la physique devient tout à coup visible, tangible, effectif. La science conquiert, par l'automobile, la force d'une philosophie tout à coup réalisée ! », écrit en 1907 Paul Adam dans La Morale des sports. La voiture façonne l'architecture des villes (premier rond-point à Paris en 1907), se démocratise à grande vitesse (la Ford T est lancée en 1908) : « Ce ne sont pas les constructeurs qui ont créé une dépendance, explique Mathieu Flonneau. La massification a été souhaitée par les gens. C'est la seule révolution mondiale qui a marché. »
“La voiture permet l'affirmation de la personnalité,
la domination du monde, l'agrandissement
de soi-même.” Dino Buzzati
Jusqu'aux années 1960, l'automobile, devenue voiture, est partout perçue comme un progrès, et si son romantisme s'étiole dans la masse, personne ne trouve encore qu'elle empeste. Survient la période de contestation de la fin des années 1960 et des années 1970. « La voiture est vécue comme un objet de liberté mais aussi de subversion », écrit l'historien. Pour la première fois, des voix s'élèvent. Dans L'Hommauto, publié en 1966, Bernard Charbonneau compare la voiture à un gros cafard aux yeux fixes : « A 150, elle fonce droit au but, vers l'avenir. Quel avenir ? Nul ne sait. » Son image se dégrade, on la juge anticonviviale, aliénante. Elle devient aussi sexy qu'une brosse à dents usée. Aux Etats-Unis, certains pronostiquent sa disparition. Malgré tout, les ventes s'envolent. Le cadavre du mythe est au sol, mais la bagnole est debout. Il faut attendre les années 1990 et 2000 pour voir naître une vraie contre-révolution automobile. En Occident, pour la première fois, la voiture recule dans l'espace public. Mais la réalité écologique ne glace pas le désir, et le blasement occidental (relatif) n'éteint pas l'enthousiasme chinois, indien ou est-européen. « La voiture n'est pas finie, prédit Mathieu Flonneau. Demain, elle sera électrique, non polluante, moins bruyante, plus civilisée. Le rêve continue. »
“A ma droite, à ma gauche, devant moi,
le vitrage de l'automobile, que je gardais fermé,
mettait pour ainsi dire sous verre la belle journée
de septembre que, même à l'air libre,
on ne voyait qu'à travers une sorte de
transparence.” Marcel Proust dans Le Figaro, 1907
Mais bon sang, pourquoi ? La réponse tient peut-être dans les passages littéraires compulsés par l'historien. La liste des écrivains qui ont célébré l'art de vivre sur quatre roues est longue comme un démarrage de 2 CV en hiver : de Roger Nimier à Françoise Sagan, de Julien Gracq à Dino Buzzati (« La voiture permet l'affirmation de la personnalité, la domination du monde, l'agrandissement de soi-même »), de Georges Duhamel (« L'auto est un levier qui grandit tous nos vices et n'exalte pas nos vertus ») à François Nourissier (« Les caresses exquises de la vulgarité prodiguées par l'automobile »). Même Marcel Proust, dont les impressions de route en automobile furent publiées en 1907 dans Le Figaro, fit allégeance « A ma droite, à ma gauche, devant moi, le vitrage de l'automobile, que je gardais fermé, mettait pour ainsi dire sous verre la belle journée de septembre que, même à l'air libre, on ne voyait qu'à travers une sorte de transparence. » Ces réflexions sur les premiers tours de roue de l'automobile cisèlent un imaginaire universel. L'objet de série s'est d'ailleurs sacralisé dans l'art. Les Etats-Unis lui ont inventé un style cinématographique, les road movies (Duel, de Spielberg ;Vanishing Point, de Richard Zarafian ; Crash, Thelma et Louise...). Dans sesMythologies, Roland Barthes a même métamorphosé la DS en cathédrale : « Conçue passionnément par des artistes inconnus, consommée dans son image, sinon dans son usage, par un peuple entier qui s'approprie en elle un objet parfaitement magique. » Ce rapport au sacré est aussi lié à la mort, aux destins fauchés de James Dean, de Grace Kelly et d'Albert Camus, aux milliers d'anonymes tués sur les routes quand alcool au volant ou vitesse étaient tolérés (17 000 morts en 1972). En cela, l'histoire de l'automobile est le reflet fidèle de l'évolution des tabous et des libérations. Elle demeure aussi, du moins pour le million de fans – curieusement, une minorité de femmes... – qui iront au Mondial de l'auto, autre chose qu'un simple objet utilitaire, qu'une brosse à dents à roues. Réduire cette masse d'aficionados à une bande de décérébrés égoïstes amoureux des gros pots d'échappement, à une cohorte anticitoyenne en panne de virilité qui chausse des talonnettes en montant dans un 4 x 4 et espère trouver l'amour des autres dans le reflet des jantes chromées serait une erreur, une approximation, une caricature. Qu'on s'en désole ou pas, la caisse n'est pas qu'un moyen de déplacement. C'est le réceptacle de milliers de sensations fugitives, voyage impromptu décidé à la dernière seconde, ambiances sonores, paysages qui défilent ; la forme carrossée d'une liberté individuelle. Qui, en attendant l'électricité, a un prix et une odeur entêtante.
(1) “Les Cultures du volant, essai sur les mondes de l'automobilisme”, XXe-XXIe siècles, éd. Autrement.
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17/05/2012
Coût de notre représentation politique
Président de la République : 27 288 € 21 000 € bruts par mois
Traitement mensuel :
27 287,95 €21 003,59 € bruts par mois qui comprend
- une indemnité de base (
21 194,52 €14 910€ réactualisé 17/05/2012),- une indemnité de résidence (635,84 € non réactualisé)
- et une indemnité de fonction non imposable (5 457,59 € non réactualisé).
Avantages : logement de fonction à l'Elysée, accès gratuit au réseau SNCF, voitures de fonction et chauffeurs, mise à disposition d'une flotte d'avions, bénéfice de plusieurs résidences secondaires.
Cumul : impossible. Les éléments de rémunération du président de la République sont exclusifs de tout autre traitement, pension, prime ou indemnité, hormis celles à caractère familial
Premier ministre : 27 288 € 21 000 € bruts par mois
Traitement mensuel :
27 287,95 €21 003,59 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (21 194,52 €14 910€ réactualisé 17/05/2012 ), une indemnité de résidence (635,84 €) et une indemnité de fonction non imposable (5 457,59 €).Avantages : logement de fonction à Matignon, accès gratuit au réseau SNCF, voitures de fonction et chauffeurs, mise à disposition d'une flotte d'avions, bénéfice de plusieurs résidences secondaires.
Cumul : possible. Un Premier ministre ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel. Autrement dit 13,644 € bruts par mois.
Un Premier ministre peut donc toucher jusqu'à 40 932 € par mois de la part de l'Etat.
Ministre : 18 193 € 14 000 € bruts par mois
Un ministre peut toucher dans le meilleur des cas 27 289 euros par mois de la part de l'Etat.
Traitement mensuel :
18 192,96 €14 000 € bruts par mois qui comprend
- une indemnité de base (
14 129,68 €9 940€),- une indemnité de résidence (423,89 €)
- et une indemnité de fonction non imposable (3 638,39 €).
Avantages : logement de fonction ou prise en charge par l'Etat d'une superficie maximale de 80 m² plus 20 m² par enfant à charge, accès gratuit au réseau SNCF, voiture de fonction et chauffeur, quota de déplacements aériens.
Cumul : possible. Un ministre ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel. Autrement dit 9 096,48 € bruts par mois.
Un ministre peut donc toucher jusqu'à 27 289 € par mois de la part de l'Etat.
Secrétaire d'Etat : 17 282 € bruts par mois
Traitement mensuel : 17 282,37 € bruts par mois qui comprend
- une indemnité de base (13 825,89 €),
- une indemnité de résidence (402,7 €)
- et une indemnité de fonction non imposable (3456,47 €).
Avantages : logement de fonction ou prise en charge par l'Etat d'une superficie maximale de 80 m² plus 20 m² par enfant à charge, accès gratuit au réseau SNCF, voiture de fonction et chauffeur, quota de déplacements aériens.
Cumul : possible. Un secrétaire d'Etat ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel. Autrement dit 8 641,2 € bruts par mois.
Un secrétaire d'Etat peut donc toucher jusqu'à 25 923 € par mois de la part de l'état.
Député : 11 146 € nets par mois
Indemnité mensuelle : 7 064,8 € bruts par mois qui comprend
- une indemnité de base (5 487,25 €),
- une indemnité de résidence (164,62 €)
- et une indemnité de fonction non imposable (1 412,97 €).
Cela représente 5 261,01 € net par mois.
Indemnité représentative de frais de mandat :
5 884,9 €6 410 € net par mois, pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception, d'habillement...)Avantages :
9 093 €9 138 € mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1re classe, remboursement des forfaits de cinq lignes téléphoniques et d'un abonnement internet.Le président de l'Assemblée nationale jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.
Cumul : possible. Un député ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité parlementaire de base, soit 8 230,88 €.
Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2.743,63 € au titre de ses mandats locaux
Sénateur : 11 976 € nets par mois
Indemnité mensuel : 7 064,8 € bruts par mois qui comprend
- une indemnité de base (5 487,25 €),
- une indemnité de résidence (164,62 €)
- et une indemnité de fonction non imposable (1 412,97 €).
Cela représente 5 378,88 € net par mois.
Indemnité représentative de frais de mandat : 6 209,1 € net par mois pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception, d'habillement...).
Avantages : 7 203,8 € mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, dotation micro-informatique, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1re classe, forfait global de communications téléphoniques.
Le président du Sénat jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.
Cumul : possible. Un sénateur ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité parlementaire de base, soit 8 230,88 €.
Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2 743,63 € au titre de ses mandats locaux.
Maire d'une petite ville : de 2 080 à 3 404 € bruts par mois
Commune de 3 500 à 9 999 habitants : 2 080,4 € bruts par mois,
soit 24 964,9 € bruts par an.
Un adjoint gagne 832,2 € bruts par mois soit 9 985 € bruts par an.Commune de 10 000 à 19 999 habitants : 2 458,7 € bruts par mois,
soit 29 503 € bruts par an.
Un adjoint gagne 1 040,2 € bruts par mois soit 12 482 € bruts par an.Commune de 20 000 à 49 999 habitants : 3 404 € bruts par mois,
soit 40 851,7 € bruts par an.
Un adjoint gagne 1 248,2 € bruts par mois soit 14 978,9 € bruts par an.NB : ces indemnités sont les montants maximums autorisés. Un élu peut y renoncer, le maire peut décider que tout ou partie de ses indemnités soient reversées à ses adjoints.
Maire d'une grande ville : de 4 161 à 5 485 € bruts par mois
Commune de 50 000 à 99 999 habitants : 4 160,8 € bruts par mois,
soit 49 929,8 € bruts par an.
Un adjoint gagne 1 664,3 € bruts par mois soit 19 971,9 € bruts par an.Commune de 100 000 à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois,
soit 65 816,5 € bruts par an.
Un adjoint gagne 2 496,5 € bruts par mois soit 29 957,9 € bruts par an.
Et pour les conseillers municipaux, les indemnités s'élèvent à 226 € bruts par mois soit 2 734 € bruts par an.Commune de plus de 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois,
soit 65 816,5 € bruts par an.
Un adjoint gagne 2 742,4 € bruts par mois soit 32 908,3 € bruts par an.
Et pour les conseillers municipaux, les indemnités s'élèvent à 226 € bruts par mois soit 2 734 € bruts par an.
Maire de Paris : 11 067 € bruts par mois
Maire de Paris : 11 067,36 € bruts par mois dont
- une indemnité de maire (4 017,08 €),
- une majoration "ville chef-lieu de département" (945,64 €),
- une indemnité de président du Conseil de Paris (3 687,99 €)
- et une indemnité de frais de représentation (2 416,67 €).
Adjoint au maire de Paris : 6 808,59 € bruts par mois dont
- une indemnité d'adjoint au maire (2 269,53 €),
- une majoration (945,64 €),
- une indemnité de conseiller général (2 647,79 €)
- et une majoration "liée à la fonction" (945,64 €).
Maire d'arrondissement : 7 021,29 € bruts par mois dont
- une indemnité de maire d'arrondissement (2 269,53 €),
- une majoration (945,64 €),
- une indemnité de frais de représentation (1 208,33 €)
- et une indemnité de conseiller général (2 647,79 €).
Un adjoint gagne 2 159,84 € bruts par mois
et un conseiller municipal de 0 à 226 € bruts par mois.Conseiller de Paris : 4 807,62 € bruts par mois dont
- une indemnité de conseiller de Paris, (1 214,2 €),
- une majoration (945,64 €)
- et une indemnité de conseiller général (2 647,79 €).
Président de communauté urbaine : de 3 404 à 5 485 € bruts par mois
Communauté urbaine ou d'agglomération de 20 000 à 49 999 habitants : 3 404,3 € bruts par mois,
soit 40 851,6 € bruts par an.
Un vice-président gagne lui 1 248,2 € bruts par mois soit 14 978,9 € bruts par an.Communauté de 50 000 à 99 999 habitants : 4 160,8 € bruts par mois,
soit 49 929,8 € bruts par an.
Un vice-président gagne lui 1 664,3 € bruts par mois soit 19 971,9 € bruts par an.Communauté de 100 000 à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois,
soit 65 816,5 € bruts par an.
Un vice-président gagne lui 2 496,5 € bruts par mois soit 29 957,9 € bruts par an.
Les délégués des communes perçoivent eux 226,9 € bruts par mois.Communauté à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois,
soit 65 816,5 € bruts par an.
Un vice-président gagne lui 2 742,4 € bruts par mois soit 32 908,3 € bruts par an.
Les délégués des communes perçoivent eux 226,9 € bruts par mois quand la taille de la communauté est inférieure à 400 000 habitants et 1 059,1 € au-delà
Conseiller général : de 1 513 à 2 648 € bruts par mois
Département de moins de 250 000 habitants : 1 513,02 € bruts par mois et 1 664,32 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.
Département de 250 à 500 000 habitants : 1 891,28 € bruts par mois et 2 080,4 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.
Département de 500 000 à 1 million d'habitants : 2 269,54 € bruts par mois et 2 496,49 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.
Département de 1 à 1,25 million d'habitants : 2 458,66 € bruts par mois et 2 704,53 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.
Département de plus de 1,25 million d'habitants : 2 647,79 € bruts par mois et 2 912,57 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.
Président de conseil général : 5 485 € bruts par mois
Président de conseil général : 5 484,7 € bruts par mois, quelque soit la taille du département. Soit 65 816,5 € bruts par an.
Vice-président de conseil général : de 2 118,2 € à 3 706,9 € bruts par an.
Cela dépend de la taille du département.
- 2 118,2 € pour ceux de moins de 250 000 habitants,
- 2 647,8 € pour ceux de 250 à 500 000 habitants,
- 3 177,4 € pour ceux de 500 000 à 1 million d'habitants,
- 3 442,1 € pour ceux de 1 à 1,25 million d'habitants
- et 3 706,9 € pour ceux de plus de 1,25 million d'habitants.
Avantages : dans certains départements, les présidents de conseil général ont droit à un logement de fonction. La plupart dispose de voitures de fonction.
Conseiller régional : de 1 513 à 2 648 € bruts par mois
Région de moins de 1 million d'habitants : 1 513,02 € bruts par mois,
et 1 664,32 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.Région de 1 à 2 millions d'habitants : 1 891,28 € bruts par mois,
et 2 080,4 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.Région de 2 à 3 millions d'habitants : 2 269,54 € bruts par mois,
et 2 496,49 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.Région de plus de 3 millions d'habitants : 2 647,79 € bruts par mois,
et 2 912,57 € bruts par mois s'il est membre de la commission permanente.
Président de conseil régional : 5 485 € bruts par mois
Président de conseil régional : 5 484,7 € bruts par mois, quelque soit la taille de la région.
Soit 65 816,5 € bruts par an.
Vice-président de conseil régional : de 2 118,2 € à 3 706,9 € bruts par an.
Cela dépend de la taille de la région. 2 118,2 € pour celles de moins de 1 million d'habitants, 2 647,8 € pour celles de 1 à 2 millions d'habitants, 3 177,4 € pour celles de 2 à 3 millions d'd'habitants, et 3 706,9 € pour celles de plus de 3 millions d'habitants.
Avantages : dans certaines régions, les présidents de conseil régional ont droit à un logement de fonction. La plupart dispose de voiture de fonction.
Conseiller économique et social : au moins 3 768 € bruts par mois
- Indemnité mensuelle : 1 883,95 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (1 829,08 €) et une indemnité de résidence (54,87 €).
- Indemnité de frais de représentation : 1 883,95 € bruts par mois. Les 72 membres de section perçoivent une indemnité mensuelle représentative de frais supplémentaire de 866,28 € soit au total 2 750,23 €.
- Indemnités supplémentaires : 282,59 € bruts pour chaque séance de section à laquelle ils assistent dans la limite de 11 303,7 € par an, et 452,15 € bruts par rapport rédigé, dans la limite de 1 808,59 € par an.
Président du Conseil économique et social : 7 535,8 € bruts par mois.
En plus de sa rémunération de conseiller, il perçoit
- une indemnité spéciale pour frais de représentation égale au double de cette rémunération.
Les présidents de groupe eux perçoivent 5 651,9 € bruts par mois.
Avantages : crédit fixé chaque année pour leurs déplacements métropolitains, remboursement des trajets domicile-Conseil pour les 72 membres de section.
Membre du Conseil Constitutionnel : 13 223 € bruts par mois
Président du Conseil constitutionnel : 13 222,8 € bruts par mois.
Ce montant correspond à la somme des deux plus hauts traitements hors échelle de la fonction publique.
C'est-à-dire au 1er octobre 2009, les sommes de 82 985,94 € et 75 688,04 € bruts par an.
Membre du Conseil constitutionnel : 13 222,8 € bruts par mois.
Ce montant correspond à la somme des deux plus hauts traitements hors échelle de la fonction publique.
C'est-à-dire au 1er octobre 2009, les sommes de 82 985,94 € et 75 688,04 € bruts par an.Avantages : non disponibles.
Député européen : au moins 9 766 € bruts par mois
Traitement mensuel : 7 665,31 € bruts par mois.
Après déduction de l'impôt européen et de la cotisation d'assurance accidents,
il s'établit à 5 963,33 €.
Il est ensuite intégralement imposé par les États membres.Indemnité de frais généraux : 4 202 € par mois.
Elle couvre les frais de bureau du député dans son Etat d'élection, de téléphone, d'équipements informatiques et de déplacement.
L'indemnité est réduite de moitié pour les députés qui, sans justification valable, n'assistent pas à la moitié des séances plénières d'une année parlementaire.
Un député consciencieux gagnera donc 11 867,31 € bruts par mois.Avantages : le coût réel des titres de transport pour assister aux réunions leur est remboursé sur présentation des pièces justificatives. Il dispose d'une indemnité annuelle de voyage de 4 148 euros. Enfin le Parlement verse une indemnité forfaitaire de 298 euros pour chaque jour de présence aux réunions des organes du Parlement.
Commissaire européen : 23 927 € bruts par mois
Traitement de base mensuel : 20 278,23 € par mois.
Ce montant correspond à 112,5% du traitement de base d'un fonctionnaire de l'Union européenne de grade 16, troisième échelon (le plus haut grade).
- Indemnité mensuelle de représentation : 607 € bruts par mois.
- Indemnité de résidence : 3 041,7 € bruts par mois.
Elle représente 15% du traitement de base mensuel.- Indemnité de frais d'installations : 40 556 € bruts lors de la prise de fonction
puis 20 278 € lors de la cessation des fonctions.
Avantages : allocation familiales (jusqu'à 5% du montant du traitement de base soit 1 013,9 € par mois), remboursement des frais de mission, indemnité par journée entière de déplacement, indemnité transitoire après cessation de fonction
Président de la Commission européenne : 30 024 € bruts par mois
Traitement de base mensuel : 24 874,6 € bruts par mois,
soit 138% du traitement de base des fonctionnaires de l'Union européenne au plus haut grade.
Les vice-présidents de la Commission perçoivent eux 22 531,4 € bruts par mois.
- Indemnité mensuelle de représentation :
1 418, 07 € bruts par mois pour le président de la Commission
et 911,38 € pour les vice-présidents.- Indemnité de résidence :
3 731,2 € bruts par mois pour le Président de la Commission,
et 3 379,7 € pour les vice-présidents.- Indemnité de frais d'installations :
49 749 € bruts lors de la prise de fonction
puis 24 874 € lors de la cessation des fonctions pour le Président de la Commission
et 45 063 € bruts lors de la prise de fonction
puis 22 531,4 € lors de la cessation des fonctions pour les vice-présidents.Avantages : allocation familiales (jusqu'à 5% du montant du traitement de base soit entre 1 126,6 € et 1 243,7 € par mois), remboursement des frais de mission, indemnité par journée entière de déplacement
Président du Conseil européen : 30 024 € bruts par mois
Traitement de base mensuel : 24 874,6 € bruts par mois,
soit 298 495 € par an. Ce montant correspond à 138% du traitement de base d'un fonctionnaire de l'Union européenne de grade 16, troisième échelon (le plus haut grade).
- Indemnité mensuelle de représentation : 1 418, 07 € bruts par mois.
- Indemnité de résidence : 3 731,2 € bruts par mois.
- Indemnité de frais d'installations : 49 749 € bruts lors de la prise de fonction puis 24 874 € lors de la cessation des fonctions.
Avantages : allocation familiales (jusqu'à 5% du montant du traitement de base soit 1 243,7 € par mois), remboursement des frais de mission, indemnité par journée entière de déplacement.
Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères : 28 366 € bruts par mois
Traitement de base mensuel : 23 432,6 € bruts par mois,
soit 281 191 € par an.
Ce montant correspond à 130% du traitement de base d'un fonctionnaire de l'Union européenne de grade 16, troisième échelon (le plus haut grade).
- Indemnité mensuelle de représentation : 1 418, 07 € bruts par mois
- Indemnité de résidence : 3 514,9 € bruts par mois. Elle représente 15% du traitement de base mensuel.
- Indemnité de frais d'installations : 46 865,2 € bruts lors de la prise de fonction puis 23 433 € lors de la cessation des fonctions.
Avantages : allocation familiales (jusqu'à 5% du montant du traitement de base
soit 1 171,6 € par mois), remboursement des frais de mission, indemnité par journée entière de déplacement.
Chiche ! 577 députes, 343 sénateurs, 30 ministres et secrétaires d'état ,
Et si on leur baissait leur salaire de 1 000 € ???Ils auraient encore de quoi bien vivre !
Et on ferait 950 000 € d'économie chaque mois.
950 000 € X 12 = 11 400 000 Euros/An
En 3 minutes j'économise plus de 11 millions d'euros, mieux que Fillon, Sarko et consort.
ON VA VOIR SI ON PEUT FAIRE TOURNER ÇA DANS TOUTE LA FRANCE ? Merci d'avance !!!
23:10 Publié dans Société et Justice | Lien permanent |
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14/05/2012
Dirigeants les mieux payés …
… des compagnies US en technologies informatiques
http://www.lemondeducloud.fr/lire-qui-sont-les-patrons-de...
http://www.lemondeducloud.fr/lire-qui-sont-les-patrons-de...
Lorsque l'on compare toutes les situations, les écarts s'expliquent plus ou moins, par la valeur dégagée pour les actionnaires.
D'autres paramètres jouent aussi, tels que : l'étendue du pouvoir du dirigeant dans l'entreprise et son statut (fondateur, CEO et président du conseil...), son ancienneté, ses performances précédentes et sa dynamique.
Patron – Firme | Salaire annuel 2011 | Bénéfices firme |
Microsoft | Steve Ballmer, CEO 1,4 million de $ | en 2011 : 23,2 milliards de $ |
IBM | Sam Palmisano, président du conseil d'administration 31,8 millions de $ | en 2011 : 14,8 milliards de $ |
Apple | Tim Cook, CEO 378 millions de $ | en 2011 : 14 milliards de $ en augmentation de 84% |
Oracle | Larry Ellison, PDG 77 millions de $ | |
Larry Page, CEO, co-fondateur 1 $ ! Vit du revenus de ses 8,7 milliards de $ de titres | en 2010 : 8,5 milliards de $ en 2011 : 9,7 milliards de $ | |
Cisco | John Chambers, 12,9 millions de $ | en 2011 : 6,5 milliards de $ |
Symantec | Enrique Salem, CEO 8,5 millions de $ | en 2011 : 6,2 milliards de $ en baisse de 11% sur 2010 |
EMC | Joe Tucci, CEO 13,2 millions de $ | en 2011 : 2,6 milliards de $ en 2010 : 2 milliards de $ |
Dell | Michaël Dell, CEO 3,4 millions de $ | en 2011 : 2,6 milliards de $ en 2011 : 1,3 milliards de $ |
CA Technologies | Bill McCracken, CEO 8 millions de $ soit le double de 2010 | en 2011 : 823 millions de $ |
NetApp | Tom Georgens, CEO 8,3 millions de dollars | en 2011 : 673 millions de $ en 2010 : 400 millions de $. |
Amazon | Jeff Bezos, CEO 1,7 million de $ | en 2011 : 631 millions de $ en 2010 : 1147 millions de $ |
VMWare | Paul Maritz, CEO 1,6 millions de $ soit la moitié de 2010 | en 2010 : 362 millions de $ en 2011 : 724 millions de $ |
Citrix | Mark Templeton, 8,2 millions de $ | en 2011 : 356 millions de $ |
F5 Networks | John Mcadam, CEO 7,7 millions de $ | en 2011 : 241 millions de $ |
Red Hat | Jim Whitehurst, CEO 7,4 millions de $ | en 2011 : 107 millions de $ |
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23:51 Publié dans Société et Justice | Lien permanent |
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